Présentation de L'Ange de la Forêt [Terminer]

Prénom: Dieu
Age: Pas loin du millénaire
Département/Pays: Astre de feu, non loin de la terre
Loisirs: Rp, Lecture, Dessin, Mathématique (Je sais, je suis un monstre)…
Comment avez connus le forum ? Naruto Vs Sasuke
Connectivité (0/7) ? 5/7



Nom & Prénom: Senju Hashirama
Age: 28 ans
Descriptions Physiques (10 lignes minimum):

Comment voulez-vous que je me décrive ? Il serait déjà bien utile de vous dire que je suis un homme. Ensuite, rien que mon nom provoque chez certaines personnes une hystérie incontrôlable, un sentiment de crainte et d’appréhensions ou tout simplement une ignorance. En effet, vous qui êtes dans le doute à ce sujet n’avez-vous jamais entendu mon nom prononcé de la bouche d’un ivrogne ou d’un conteur de bonne aventure dans la taverne du coin ? N’avez-vous jamais discerné dans la fraîcheur du vent caressant votre visage et chuchotant dans votre oreille la plus belle des chansons citant mon surnom ? N’avez-vous encore jamais perçu du fond du souffle du bois qui je suis ? Si non ! J’ai l’honneur de vous présentez l’Ange de la forêt !

Mon visage, pour commencer, n’exprime aucune supériorité du fait de mon appartenance à un ancien clan maintenant disparut, le Clan de la forêt aussi nommer Senju. Je prendrais même par moment des courbes étranges témoignant ma lassitude à l’égard de mes locuteurs. Mes traits sont donc aussi changeants suivant mon humeur qu’un sourire reste le plus souvent sur mon visage pour de multiples raisons qui dérange au plus haut point mes ennemies. La couleur de ma peau serait dans des tons légèrement hâlés mais néanmoins le blanc pâle ne m’irait pas de toute façons…

Ma bouche est donc elle aussi parfaite. Pourpre et délicates, mes lèvres sont légèrement sucrées. Pour continuer, veillez à plonger votre regard dans le mien. Vous percevrez derrière un rideau vert émeraude, une autre facette. Deux petites mirettes, hésitant et flamboyant, cherchant la sortie dans le noir. Enfin… Ma tête est recouverte de cheveux, quoi de plus normal. Mais ne me dites pas que vous êtes déçues, la calvitie à mon âge et quoi encore ! Ma chevelure est donc d’une couleur d'ébène, s’agençant entre le noir et le châtain foncé. Hirsute et souvent ébouriffés, mes cheveux m’arrivent au niveau des yeux, effet qui accentue le mystère du personnage. Le reste de mon visage est tout aussi extraordinaire, parfait et beau chez moi que j’en passe donc la description.

Descendons alors et arrivons au torse. Il serait déjà utile de vous dire que celui-ci est tout aussi angélique et sain comme le reste de mon corps. Encore une fois, aucune trace de quoi ce fut sur ce buste athlétique si bien que ce corps splendide et divin cache quelque chose. Et en effet, quelques pas sous le buste se cache un tatouage. Tatouage qui selon moi représente l’emblème des Senjus soit deux tridents courbés opposé et possédant le même manche.

Passons maintenant à mon côté vestimentaire. Loin de prendre bien soin de mon corps et de pousser à l’excès ce qui est destiné aux femmes, j’aime bien faire bonne impression et être bien dans mes habits. En dehors de ma vie ninja, je porte donc des habits soignés et élégant mais même si cette vie de côté me semble trop terne, je porte souvent en dessous de ces habits amples le vêtement de mon ascendant, le 1er Hokage. Je possède donc cette même armure marron rougeâtre qui a fait tremblé tant d’Uchiwa et qui maintenant me fut légué comme étant le seul héritier connu à ce jour !

Le reste de ma physionomie est tout aussi vigoureux et séraphique que je terminais cette description par une exclamation qui devrait vous venir à la bouche pour la conclusion de cette description : Mais quel archétype parfait !

Descriptions Mentales (10 lignes minimum):

Pourquoi me poser ces questions à moi ? Je ne pourrais vous résumez ce que je suis en quelque ligne néanmoins j’essaierais de partager ce que je suis en condensant et simplifiant le tout. Commençons alors…

Difficile à me cerner quand on ne connaît pas encore mon parcours. Déjà, il est bon de savoir que tout d’abord je suis quelqu’un de doux, calme et tranquille. Vous ne me verrez jamais m’énerver et perdre mon calme et ma sérénité à moins que les habitants de mon village ne viennent à être agressés. Si une chose pareille arrivait, ma colère me poussera à bien des choses…

Je suis quelqu’un de très attentif. Toujours à l’écoute des autres, je comprends ce que vive les plus démunis et les jinchurikis dans ce monde. Je n’hésite alors jamais pour leur venir en aide et les aider à franchir des étapes dur dans la vie avec comme remède l’émerveillement et le rire.

Loin d’être abruti et sans culture, je suis une véritable banque de donnée. Je possède une très bonne mémoire et toute les choses que j’ai croisées ou les techniques que j’ai vues et lues reste a jamais gravé. Je garde dans cette mémoire tout les information que j’ai put bouquiner dans des livres d’histoire m’apprenant ainsi beaucoup sur les relations politiques entre les divers villages et m'expliquant et m’inculquant les principes de bases d’obéissances et d’honneur.

Pour finir, la naïveté n’a jamais été l’une de mes caractéristiques. Je crois en ce que j’ai vu et pose toujours sur ce que j’ai entendu le poids du doute et de l’incertitude.


Histoire (25 lignes minimum):

…Un lit de ronces pour un ange…

♫ ♪ Tic ! Tac ! Un homme se presse aux portes de Konoha, il coure sous la pluie. Son visage, ruisselant de sueur, est recouvert d’un masque aux traits sauvages, c’est un membre de l’Anbu. Il tient un colis entre ces bras, malgré la course qu’il entreprend, il conserve celui-ci dans ces mains d’une manière peu commode, comme si celui-ci était vivant, le berçant à chaque saut, le dorlotant et le protégeant de l’averse qui tombait. Il est encore loin, il vient juste de quitter la forêt mais tout ceux-ci est étranges. L’on entend nettement la plainte et les pleurs d’une personne ou d’une chose non loin d’ici, dans le bois.

Un gémissement, ponctuait de bruit assourdissant. Non ce ne peux pas être un être humain qui émet cette lamentation. Les appels ne sont pas humanoïdes, déchirant de tristesse, il n’évoque que la douleur. Quelqu’un vient d’enlever quelque chose à cette forêt, elle le réclame. Pourtant, l’Anbu ne semble pas ralentir. On peux deviner nettement son visage, troublé et effrayé par ce qui vient de se passer. Les battements de son cœur augmentent, il faut faire vite…

Le voilà juste devant la grande porte. Il ne prend pas le temps de s’arrêter, il saute, s’appuie sur le mur pour bondir et franchit la porte. Ces pieds retouchent le sol pour repartir de plus belle. Où se dirige-t-il ? On le saura bien assez tôt. Il continue de galoper, un chariot de marchandise vient de lui barrer la route. Il bondit et se retrouve sur les toits de Konoha.

Droit devant. La demeure de l’Hokage apparaît. Il est prêt à sauter, une tuile cède sous son pied, il perd l’équilibre. Sa chute est vertigineuse, il faut qu’il se rattrape à la paroi d’en face. Il libère une de ces mains de la cargaison maintenant tenue à bout de bras, il concentre son chakra dans sa main. Son corps continue de s’élancer, sa main est prête à l’usage, il n’aura droit qu’a une chance. Celui-ci s’agrippe à une poutre, la lucarne mouillée par cette ondée manque de le faire glisser. Il se tracte et se retrouve sur le toit, sain et sauf. Mais il ne prend pas le temps de se reposer, il repart. Il n’est plus qu’à quelques mètres. Il saute et le voilà sur le parvis du bureau de l’Hokage. Il ne prend pas le temps de frapper, il entre, bouleversé…

« Monsieur… Excusez-moi de vous déranger mais…
- Parlez donc mon ami !
- J’ai découvert lors de ma garde dans la forêt, un bébé… Celui-ci était niché dans le creux d’un arbre, protégé par une multitude de ronces. Lors que je me suis approché pour le prendre, les arbres et ronces se sont mis à m’attaquer…
- Montrez-le moi ! »

Le jeune juunin s’approcha, enlevant le duvet qui protégé le nourrissons et le lui donna soigneusement. L’enfant dormait à point fermer, un collier était accroché autour de son cou représentant le symbole des Senjus.

« Très bien… Voyons voir… Tu me dis que les arbres ont soudain prit vie et qui l’on protégé. Il semblerait que le 1er Hokage n’a pas perdu de son pouvoir… On ne peut le laisser seul. Veillez sur lui je vous prie, le temps de trouver sa famille…
-Il va falloir le baptiser. Comment voulez-vous qu’il s’appelle ?
-Il se nommera Hashirama…Hashirama Senju de la Forêt ! En l’honneur du 1er Hokage ! »


Epilogue

…Début d’une carrière

♫♪ La musique ! Son mélodieux témoignant une pensée plus ou moins romantique. La musique n’était-elle pas un art aussi complexe que l’art ninja ? J’affirmerais même qu’il est d’autant plus difficile d’apprendre le sens de la mélodie que de savoir utiliser un jutsu. Certains grands bardes des temps anciens démontraient leur pratique comme étant le paradis et qu’il suffisait d’une tonalité pour engendrer le plaisir, le préjudice ou tout autre sentiment caché dans les méandres d’un esprit. Néanmoins, elle peut blesser et rendre fragile notre conscience…

Le soleil brillait sur le village caché de la feuille. Ce temps propice pour les uns, ne semblait guère amuser les autres. Konoha c’était pour une fois réveillé assez tôt, les marchandises étaient déjà répandues sur les étales et les quelques acheteurs se pressaient aux caisses pour régler la note. Quelques ninjas, trop occupés à profiter de ce temps, avaient oublié leur mission journalière et vadrouillait dans les allées, jouait et s’entraînait.

Moi, j’étais perché sur le toit du palais du Kage, je chantonnais. D’ailleurs, je n’étais pas seul. Un couple d’oiseaux, des colombes selon moi, s’était joint à la chorale. Ensemble nous fredonnions des airs musicales à la mélodie envoûtante et enivrante. Ce léger entracte harmonieux suffisait à me faire relâcher et à me transporter dans un autre monde sans dossier à remplir et autres corvées. D’ailleurs je pensais sérieusement à prendre un assistant pour avoir plus de temps à moi et travailler sur ce que selon moi était le plus important.

Malgré tout, je fus déranger par un Anbu qui me semblait fort bouleverser, ils avaient besoin d’aide. J’étais tenu d’y aller car mon devoir est de servir et protéger se village ! Mon village ! Ma patrie ! Ma famille !